UFOLOGIE : Diranna et Temps.
Monde matérialiste à fond la caisse, partie 1

Encore les « hommes en noirs », ou empêcheurs de penser librement, ou puissance du business.
Ci-dessous, un article du journal NEXUS n° 53 de Novembre-Décembre 2007 ; pages 63 - 69.
Le plus triste et désolant, c'est que ce Merveilleux est mélangé avec des cochonneries (pouvoir et business).

 

Petit rappel ou INQUISITION MODERNE :

Contrôle de la pensée.

* le chercheur qui dérange perd sa place ;
* l'universitaire qui ne pense pas comme tout le monde perd
son poste ;
* l'écrivain qui émet une opinion insolite est censuré ;
* le dirigeant sportif qui veut que ses élèves soient bien dans
leur peau et tous heureux de pratiquer, au détriment des
médailles, est remplacé.

En résumé, tout ce qui dérange la «pensée unique», destinée à mondialiser l'économie, c'est-à-dire à concentrer les profits dans quelques mains, est balayé.

 

Projet Camelot
Henry Deacon :
« Les visiteurs de Roswell venaient rectifier notre avenir »

Par Bill Ryan et Kerry Cassidy © février-mai 2007

Dans le cadre du Project Camelot destiné à informer le public sur les relations exopolitiques entre notre Terre et d'autres planètes, Bill Ryan et Kerry Cassidy ont été en contact avec un mystérieux informateur, Henry Deacon.
Sous ce pseudonyme, ce « physicien de Livermore », qui prétend avoir été très impliqué dans toutes ces questions lors de longues années passées au sein d'agences de renseignement américaines, a livré entre 2006 et 2007 de nombreux détails sur les « blacks programs » et leurs technologies, les voyages spatio-temporels, etc. Depuis mars 2007, l'homme a mystérieusement rompu toute communication. Ryan et Cassidy proposent ici une compilation de leurs entretiens avec lui.

La dernière communication de « Henry Deacon », le « physicien de Livermore » date du 30 mars 2007. Malgré nos tentatives de rétablir le contact, il est complètement silencieux depuis.
Avant de nous adresser son dernier message, il nous avait signalé sa crainte de devoir mettre fin à nos entretiens.
Bien qu'il fut très prudent (et parfois énigmatique) dans ses communications - qui nous parvenaient par des chemins variés et parfois astucieux - il ne se faisait aucune illusion sur la surveillance exercée par certaines agences (voir les détails plus loin). Henry reste pour nous un ami que nous avons appris à apprécier, que nous admirons et en qui nous avons confiance. Ses messages désabusés, son humour pétillant, et ses valeurs solides nous manquent. Où qu'il soit et quoi qu'il fasse, nous le souhaitons en sécurité et en bonne santé.
Nous supposons, s'il vit encore, qu'il lira ces pages. Les propos qui suivent ne sont pas issus d'une interview. Il s'agit d'une compilation des conversations et messages écrits les plus importants que nous avons eu avec lui depuis notre première rencontre en août 2006 (1).

Le plus grand secret
Lors de notre première interview, Henry a affirmé n'avoir jamais entendu parler de Dan Burisch [microbiologiste prétendant avoir été employé dans le cadre de « black project » (projets scientifiques occultes à l'Aire 51)]. Mais comme certains de leurs propos respectifs nous paraissaient se recouper, nous lui avons vivement conseillé de visionner la vidéo en trois parties de notre interview du docteur Burisch (2). Trois semaines plus tard, le 27 septembre 2006, nous avons reçu le courriel suivant, que nous reproduisons ici entièrement et mot pour mot « Dan Burisch dit toute la vérité, je le confirme, dates et tout. Meilleurs voeux ». C'était très important et nous avons corroboré cela aussitôt avec Henry. Il semble bien que les affirmations de Dan, aussi incroyables qu'elles paraissent, soient exactes.
Henry ne fit aucun commentaire sur J-Rod [un Gris sur lequel Burisch affirme avoir effectué des prélèvements], les traités [accords sur l'enlèvement d'humains] ou le projet Lotus, car il n'en avait aucune connaissance. Mais il confirma qu'au cour de tout ce qui est « classifié », réside un grand secret auquel même de nombreux initiés n'ont pas accès, secret portant sur un problème complexe d'échéances temporelles différentes. Selon lui, certains visiteurs sont bien des humains issus de notre lointain avenir et un événement futur important pourrait avoir des conséquences majeures pour la Terre et ses habitants. C'est ce dernier fait qui motive le maintien du secret et rend la divulgation si problématique.

Roswell : une mission altruiste
Selon Henry, et Dan Burisch, les visiteurs de Roswell étaient des humains du futur. Ils ne venaient pas d'une autre planète, mais de la Terre telle qu'elle sera dans l'avenir ; ils ont fait un bond en arrière jusqu'à 1947 pour tenter de régler des problèmes vécus au cours de leur histoire. Il semble que Dan ait aussi raison lorsqu'il affirme qu'ils venaient d'un futur plus proche que d'autres visiteurs arrivés par la suite. Mais Henry n'a fourni à ce sujet ni détails ni chronologie.
Les visiteurs de Roswell n'étaient motivés que par l'altruisme ils sont venus par compassion, pas par obligation. Malheureusement, leur mission a très mal tourné, non parce que leur vaisseau s'est écrasé - un accident provoqué par un radar à haute puissance que les militaires ont par la suite utilisé comme arme - mais parce qu'ils avaient à bord un dispositif qui leur était indispensable pour s'orienter dans l'espace-temps et donc pour rentrer chez eux au bon endroit et au bon moment.
Cet appareil se présentait comme une petite boîte beaucoup plus petite que le « miroir » [NdT : « Looking Glass », allusion à Alice au Pays des Merveilles] utilisé, selon Dan Burisch et Bill Hamilton, dans diverses expériences par les scientifiques militaires. La boîte des visiteurs a été saisie et examinée par les militaires ce qui a provoqué d'emblée une catastrophe. Le problème des chronologies s'est trouvé considérablement aggravé parce que la technologie des portes temporelles nous a été révélée au mauvais moment et que les militaires ont eu accès à une connaissance de l'avenir.

Un imbroglio chronologique
Henry n'a cessé de souligner combien l'incident de Roswell avait été une calamité pour tout le monde, y compris pour nos visiteurs du futur dont la mission de rectification de l'avenir s'est trouvée gravement entravée. Depuis lors, ces derniers n'ont cessé de tenter de sauver la situation, mais nous nous trouvons dans un désordre chronologique d'une telle complexité que même les esprits contemporains les plus brillants ne parviennent pas à y voir clair. Nous avons demandé à Henry pourquoi, année après année, des soucoupes volantes continuaient de s'écraser. Il a répondu s'être étonné de ce que les visiteurs n'aient pas prévu, avant d'opérer un retour dans le temps, le danger constitué par les radars, mais que de toute façon, pour plusieurs raisons, ils prenaient de grands risques à venir ici, malgré leur technologie avancée. Plusieurs raisons à ces accidents, y compris des agressions de notre part. Un fait important : Henry a souligné que les visiteurs n'étaient pas des Gris (tout en ne précisant pas ce que sont pour lui les Gris). [NdT : les Gris des Miminu, extraterrestres à tête de fourmi ; lire Les Chroniques de Girkù d'Anton Parks.]

L'« Étoile sombre » et le réchauffement global
À une époque, Henry avait travaillé à la NOAA [Administration Nationale Océanique et Atmosphérique : http://noaa.gov/] et c'est là qu'il avait pris connaissance de ce qu'il appelle le « deuxième soleil ». Il s'agit d'un objet astronomique massif situé sur une orbite circumsolaire très excentrique et fort inclinée par rapport à l'écliptique. Son approche provoque par résonance diverses réactions de notre Soleil.

Un groupe restreint au sein de la NOAA est conscient que c'est là que réside la cause du réchauffement, non seulement de la Terre, mais de toutes les planètes du système solaire. Gardée secrète, cette information est pourtant connue depuis des années.
Nous avons signalé à Henry le site Internet « Dark Star » de Andy Lloyd (http://www.darkstar1.co.uk/), qu'il ne connaissait pas. Cette affaire est en rapport avec la catastrophe de Roswell. L'un des principaux problèmes que les visiteurs du futur souhaitaient régler, ainsi que Dan Burisch l'avait signalé à plusieurs reprises, c'était un événement déclenché par une poussée massive d'activité solaire dans notre proche avenir. Comme Dan, Henry a beaucoup insisté sur le fait que cet événement était juste possible - conformément au futur possible observé dans le « miroir » [dont question plus haut] mais qu'aujourd'hui il est estimé peu probable.
Henry nous a expliqué que l'augmentation de l'activité solaire n'était due qu'en partie à l'« étoile sombre » et que d'autres facteurs, complexes, entraient enjeu. Certains, d'ordre galactique, sont des événements naturels périodiques qui ont touché la Terre plusieurs fois au cours de son histoire. Ce qui est exceptionnel dans le cas présent, c'est la convergence de facteurs aggravants - tels que les émissions toxiques, le surpeuplement et les tendances belliqueuses de l'humanité - qui se conjuguent avec les activités solaires cycliques majeures, le tout constituant une menace pour notre bien-être et celui de la biosphère.
Henry désirait ardemment visiter l'Égypte et cela le préoccupait car, selon lui, il fallait faire vite. Quand nous lui avons demandé pourquoi, il a répondu que cela n'avait rien à voir avec la guerre ou la politique, mais avec « une menace sur l'environnement ». Il a refusé d'en dire davantage ou de révéler d'où lui venait l'information.

Signal non-local et circuits résonants chaotiques
Henry nous a raconté qu'il avait été personnellement en contact avec une équipe indépendante qui, à la fin des années 70, avait réalisé l'expérience pilote d'Alain Aspect destinée à prouver le théorème de Bell, cela sous les auspices d'un projet secret mené à Livermore. Comme d'habitude s'agissant de recherches sous « budgets noirs », les résultats n'ont jamais été publiés. La mathématique et la physique du procédé sont complexes, mais la technologie qui en est issue est utilisée régulièrement aujourd'hui pour communiquer instantanément sur d'énormes distances.
Revenant à notre première interview, Henry donna des précisions concernant les circuits résonants chaotiques. Ils sont faciles à fabriquer et ne coûtent pas cher et les informations à ce sujet sont disponibles depuis les années 70, sous forme fragmentée, dans certaines communautés académiques. Il n'avait pas conservé de copies de diagrammes de circuits, mais curieusement, il considérait qu'il y avait 80 % de chance qu'il puisse les retrouver par de patientes recherches dans les archives du domaine public d'une certaine bibliothèque universitaire. Nous savons laquelle, mais pour des raisons évidentes, nous tairons son nom pour le moment.

Disque abattu à Hunter Liggett
Nous avons demandé à Henry un complément d'information sur l'ovni abattu à Hunter Liggett, en Californie (3) fin 72 ou début 73. Son équipe essayait des armes à laser expérimentales sur diverses cibles dans la campagne. Soudain, un vaisseau de forme discoïde, d'environ 30 m de diamètre et 8 m d'épaisseur fit son apparition à quelques 135 à 180 m de distance. Quelqu'un tira dessus avec le laser expérimental de la Air Force qui était monté à l'arrière d'un camion M-35 de 2,5 tonnes. Henry ne se souvient pas avoir constaté des dégâts visibles sur le vaisseau, mais celui-ci s'avéra tout de même hors d'usage. Trois aliénigènes de petite taille (qui n'étaient pas des Gris) en sont sortis sains et saufs, ont été capturés puis transférés à une base Nike [NdT : missiles] dans les collines près de Tilden Park, à l'est de Kensington, en Californie. Tout cela s'est passé très vite et à la grande stupéfaction générale.

Écoutes téléphoniques
Henry nous a averti de l'existence de technologies avancées d'écoute de conversations, même à l'extérieur. Selon lui, des lasers satellisés sont même capables de détecter les vibrations des vêtements d'une personne. On sait qu'un processus élémentaire déjà ancien permet de capter les vibrations imprimées à une vitre par une conversation ayant lieu derrière celle-ci.
Il faut prendre conscience qu'il n'est plus nécessaire de placer des puces d'écoute à l'intérieur des habitations. Les téléphones cellulaires peuvent être activés pour relayer la parole, même lorsqu'ils sont éteints ; la seule parade consiste à ôter la batterie. Nos conversations peuvent être entendues pratiquement partout, n'importe quand, selon le bon vouloir des agences de renseignement.

Concernant le 11 Septembre...
Henry nous a révélé qu'il avait su longtemps à l'avance que quelque chose se préparait (voir notre première interview), et que sur son lieu de travail, lui et ses collègues avaient reçu quelques heures avant l'événement des instructions détaillées qui l'avait choqué à ce moment-là, c'est le ton très discret du message en question, mais aussi l'apparente absence de réaction chez la plupart de ses confrères. Le but était de leur éviter de s'inquiéter lorsqu'ils apprendraient la nouvelle par les médias : « Lorsque vous entendrez cela à la radio plus tard dans la journée, ne paniquez pas, c'était prévu ». Cinq ans après l'événement, Henry est probablement le premier initié qui apporte la confirmation que le 11/9 était planifié de l'intérieur. Voici quelques-unes de ses affirmations : les avions qui ont percuté les tours étaient téléguidés (se substituant aux pilotes grâce à des modifications apportées au logiciel de pilotage automatique, autorisant des virages serrés normalement impossibles car dépassant les limites programmées). La commande à distance se trouvait à des milliers de kilomètres des avions ; l'avion qui a percuté le Pentagone était un petit jet de la marine, également téléguidé. La manoeuvre eut été impossible pour un Boeing 757 parce que l'effet aérodynamique du sol l'aurait empêché d'approcher aussi bas à pleine vitesse, il aurait dû ralentir comme pour une prise de terrain ; les appels par téléphones portables étaient des faux ; Osama Ben Laden n'avait rien à dans l'affaire, sauf qu'il constituait un atout pour le gouvernement.
Henry pense aussi qu'il y a eu perte de contrôle de vol 93, écrasé ou abattu au-dessus de la Pennsylvanie, et que cette phase du programme a échoué. Un autre bâtiment en était la cible, mais il ignore lequel. Il ignore également ce qu'il est advenu des passagers du vol 77 censé avoir percuté le Pentagone. C'est là tout ce qu'il nous a dit savoir sur cette affaire.

Chronologies multiples
[NdT : Le mot anglais timelines ne figure pas comme tel dans les dictionnaires. Nous utilisons chronologies (4) dans le sens de « suites d'événements » et multiples dans le sens de « simultanées, pouvant se dérouler parallèlement tout en étant différentes », comme les branches d'un arbre.] (a)
En février 2007, Henry nous a envoyé l'émail suivant, que nous transcrivons intégralement et textuellement : « Est-ce que nous vivons des chronologies multiples ? En somme, votre réalité dépend de vos perceptions, de votre conscience, de vos choix... parmi un océan de "probabilités".., mais ceci, comme essai de conceptualisation d'une réponse, n'est qu'un modèle de travail très limité. La langue anglaise elle-même est inapte à la formulation d'une réponse. La plupart des humains, dans les limites du monde terrestre, ne peuvent concevoir une réponse à la question car il leur manque l'expérience d'autres aspects de la "réalité". La question est d'ailleurs incomplète, à cause des contraintes propres à la plupart des langues humaines, (celles-ci se référant, au mieux, à quatre dimensions, ou utilisant le "temps" comme élément du langage), et parce que la personne qui tente de comprendre la nature de ce qu'on nomme les chronologies n'a pas été confrontée à d'autres types de réalités, etc. Le concept de chronologies n'est qu'un modèle qui tend à expliquer ce que les mots ne peuvent exprimer. Nous disposons d'autres modalités de communication qui peuvent nous aider à saisir certains concepts. Expliquer les couleurs à un aveugle-né. Expliquer le monde tel que nous le connaissons à un foetus, dont les sens sont actifs mais non encore mis en situation dans notre environnement. Souvenez-vous de l'histoire des Flatlanders ou même de Sphereland [NdT : Deux romans, d'auteurs différents, fondés sur des concepts socio-politiques liés à la géométrie. Cela nous rappelle le propos de Henri Poincaré : « pour des êtres infiniment plats vivant à la surface d'une sphère, le chemin le plus court d'un point à un autre est une courbe ». (Que le navigateur normal appelle une orthodromie !)]. Dans les temps présents, il faut s'activer à éveiller les gens... à les préparer à une onde de choc au niveau de la "réalité".., afin de minimiser la souffrance. Meilleurs souhaits. »

[NdT : Ce qui précède soulève la question de la structure de notre logique. Voir la cosmologie des Ummites (http://www.ummo-sciences.org). [NDMR : Attention sur le sujet Ummites : risque de canular !] Dans leurs nombreuses lettres, ces aliénigènes nous apprennent que pour construire le modèle cosmologique correct, il faut abandonner la logique aristotélicienne [NDMR : Oui, de toutes façons ! 2000 ans et plus, ça suffit !], et utiliser une logique tétravalente ; ce qu'a fait J.-P. Petit qui a pu en déduire un modèle viable et proposer une équation de champ incluant les quatre forces. Voir ses livres et son site].

Portes des étoiles et « miroirs »
À propos du projet Montauk [recherches menées sur les voyages dans le temps entre 1967 et 1987], Henry confirme la plupart des propos de Bielek [l'un des trois survivants de l'opération Montauk]. Il semble y avoir plusieurs sortes de portes des étoiles [NdT : que nous désignerons plus simplement par le terme anglais Stargates, voir DIRANNA] : (a) celles où l'appareil reste sur place et vous partez sans lui, (b) celles où vous voyagez avec l'appareil. Ce dernier fonctionne apparemment par interface mentale : « Pensez où vous voulez vous rendre et vous y êtes ».
Selon les connaissances d'Henry, les informations de Dan Burisch à propos des stargates sont exactes à 95 %, les 5 % restants concernant les miroirs de grandes dimensions pour lesquels il ne dispose d'aucune information (voir http://projectcamelot.org/project_looking_glass.html). Nous lui avons montré les diagrammes de Dan, ainsi que les textes des sources utilisées par Bill Hamilton (voir même lien). Henry a insisté sur le fait qu'il ne contestait pas leur existence, mais que le cloisonnement le privait de toute connaissance sur ces appareils.
Nous lui avons montré les diagrammes de Dan et l'avons observé tandis qu'il les examinait. Soudain, il s'est exclamé « Vous ai-je parlé de celui qui est en Irak ? ». En fait, ce sujet était abordé dans l'interview de Dan Burisch déjà citée (http://projectcamelot.org/dan_burisch_interview_transcript_2.html) que Henry n'avait pas visionnée jusqu'au bout. Pour lui, le véritable enjeu de la guerre en Irak était le contrôle de la stargate située là-bas dont l'emplacement était tenu dans le plus grand secret. Nous lui avons demandé s'il avait lu cela dans un document de travail ; il se contenta de répondre que c'était une information « de première main ».

Le lointain avenir
Selon Henry, dans environ six mille ans, la Terre sera pratiquement désertique et il y aura une tentative de repeuplement. Il dit qu'un grand nombre d'enfants ont été enlevés du présent et emmenés dans le futur de la Terre parce que leur génome est intact (le génome humain sera gravement endommagé suite à une catastrophe dans un proche avenir).
Il nous a confirmé également que dans un peu plus de cinquante-deux mille ans, le « miroir » (appareil permettant de « voir » l'avenir, ou les avenirs possibles) semble s'éteindre et ne livre plus d'information. Dan Burisch prétend exactement la même chose et apporte des détails sur cette technologie (http://projectcamelot.org/project_looking_glass.html).
Henry pensait qu'une sorte de filtre ne permettait aux humains du futur de nous rendre visite qu'à des intervalles d'environ six mille ans. Curieusement, un rapide calcul sur les deux principales dates évoquées par Dan Burisch donne :±45 000 = 7 x 6 500 et 52 000 = 8 x 6.500.
Nous nous étions demandés pourquoi il ne semblait pas y avoir eu de visiteurs du futur des périodes intermédiaires de 46 000, 47 000, 48 000 ans (et ainsi de suite). Les propos de Henry semblaient répondre à cette question. Les Maya, dont le célèbre calendrier prend fin en 2012, auraient eu accès à des informations laissées par des visiteurs du futur.

Des chercheurs importants
À plusieurs occasions, Henry a recommandé les travaux de certains chercheurs : Bernard Pietsch (5) (http://sonic.net/bernard/pyramid.html), Stan Tenen (http://www.meru.org/Press/Atlantisrising.html), Richard Hoagland et David Wilcock (http://www.enterprisemission.com/_articles/05-14-2004_
Interplanetary_Part_1/Interplanetary_1.htm
), et Arthur C. Clarke. Il prétend que Pietsch sait tout ce qu'il y a à savoir sur la Grande Pyramide, que Tenen est un génie inspiré, que Hoagland et Wilcock possèdent beaucoup d'informations précises sur le système solaire, et que Clarke a dû avoir accès à une information secrète à propos des diranna et l'influence d'autres intelligences sur l'humanité.

Une base habitée sur Mars
Henry fait état de l'existence d'une grande base habitée sur Mars ravitaillée par une noria de navettes spatiales ainsi que par les stargates [communication du 17 février]. Henry nous en a envoyé sur cette affaire très complexe des bribes d'informations parfois très énigmatiques.
- Selon lui, cette base abrite une vaste population estimée il y a quelques années à 670 000 personnes.
À la question de savoir s'ils sont tous humains, il a répondu : « Tout dépend de ce que vous entendez par "humain" ». Cette base existe depuis très longtemps (« des dizaines de milliers d'années ») et sa population a augmenté puis diminué au fil des siècles. Elle est installée « sur le lit d'un ancien fond marin » ; elle se trouve non loin du lieu de la photo de la NASA visible sur http://sse.jpl.nasa.gov/multimedia/display.cfm?IM_ID=568 prise en 1976 par la sonde Viking 2 sur l'étendue de Utopia Planitia (la « Plaine de Nulle part », aussi nommée « Plaine de l'utopie »).
- Les images les plus récentes de la NASA (http://science.nasa.gov/headlines/y2001/ast24may_1.htm), jetant le discrédit sur l'idée d'un visage sur Mars, ont été retouchées, ainsi que les couleurs du ciel martien sur la plupart des photos officielles de la NASA (voir : http://www.enterprisemission.com/colors.htm) (il est manifestement plus bleu qu'il nous semble permis de croire).
- Les Anunnaki interviennent dans toute cette affaire. Henry y a fait plusieurs fois référence, expliquant qu'ils étaient actifs dans les temps présents. Pour lui, ils viennent d'un autre système d'étoiles, mais il ignore lequel [NdT : des Pléiades ; lire : Les Chroniques du Girkù d'Anton Parks]. Nous les appelons « Anunnaki », la race dont parle Zecharia Sitchin. [NdT Ce nom nous vient des tablettes sumériennes, mais A. Parks réfute certaines affirmation de Sitchin, voir le tome 2 de ses Chroniques. Leur nom est Anunna, ce sont ceux qui sont établis sur Terre que l'on appelle Anunnaki, le KI étant la vibration propre à notre planète.]
Les Anunnaki sont divisés en plusieurs factions dont certaines sont amicales et d'autres hostiles. L'une des caractéristiques les plus sinistres de ces dernières est leur goût pour la chair humaine. D'autres groupes d'Anunnaki tentent d'empêcher cela. Cette information est si incroyable que, au fil des conversations, Henry a dû l'aborder à plusieurs reprises de manière indirecte avant que nous ne saisissions ce qu'il tentait de nous dire.
- Les transports s'effectuent de deux façons : à travers les Diranna pour le personnel et le petit matériel, et sur les vaisseaux spatiaux pour les marchandises volumineuses. La flotte de ces vaisseaux de liaison aller-retour porte le nom de code de Solar Warden [Gardien Solaire].
Ayant eu de tels échos par d'autres sources, nous avons questionné Henry sur le nom de code. Nous lui avons envoyé deux messages séparés contenant chacun un seul mot : Solar et ensuite Warden. Nous ne les avons assortis d'aucun contexte ni donné la raison de ces communications. La réponse est venue immédiatement sous forme de trois courriels provenant de trois adresses différentes. Le premier affichait « Mars » ; le second « Alternatif » [aller-retour] ; le troisième portait pour sujet « non inscrit ici » et donnait l'URL http://www.chinfo.navy.mil/navpalib/ships/carriers/cv-list1.html ; impressionnant ! [NdT : Le lien ci-dessus ouvre une liste des porte-avions de la marine américaine avec toutes leurs caractéristiques. Le sujet du message de Henry signifie donc clairement « vous ne trouverez pas de liste des vaisseaux spatiaux qui font la navette avec Mars », sous-entendu : il y en a bien une !]
- Henry nous a laissés dans l'incertitude en sous-entendant à plusieurs reprises qu'il avait lui-même été sur Mars. La première fois, c'était au cours d'une conversation où il était question de la base. Nous lui avons clairement demandé s'il y était allé. Après un long silence, il a fini par répondre en souriant :
« J'ai beaucoup joué au ping-pong et regardé la télévision ». Chacune de ses évocations de la base laissait la nette impression qu'il l'avait personnellement visitée.

Des Diranna humaines et naturelles
Plus tard, lors d'une autre conversation, il nous a dit que le passage à travers une Diranna était « instantané » et que cette expérience était aussi désorientante qu'exaltante. Une stargate de fabrication humaine apparaît comme une surface grise sans relief. Les stargates naturelles ont un aspect différent et sont beaucoup plus difficiles à détecter.
Henry et nous étions tout à fait d'accord sur le fait que le caractère absolument incroyable de ses révélations constituait la meilleure garantie de sa sécurité. Nous avons postposé cette partie de l'histoire de Henry jusqu'à ce jour pour lui éviter le discrédit de certains. Mais maintenant qu'il semble avoir été réduit au silence, l'honnêteté intellectuelle nous contraint à tout révéler.

(Traduction : André Dufour)

 

Suite sur la partie 2

Voir la page française de l'interview de Henry Deacon ICI

 Voir aussi la page : Ufologie et Vatican

Notes
1. Pour en savoir plus sur Henry Deacon et lire un compte-rendu de sa première interview, lire : http://www.projectcamelot.org/livermore_physicist.html. Voir aussi NEXUS Fronce n° 48.
2. La vidéo de l'interview de Dan Burisch est visible sur le site : http://projectcamelot.org
3. Il nous a indiqué le lieu de l'incident ; c'est à environ 1,6 km du centre de la carte dont voici le lien : http://maps.google.com/maps?f=q&hl=en&q=jolon+ca&ie=UTF8&z=
35.956471-121.173105&spn=0.029111,0.085831&t=h&om=1

[NdT : nous avons tenté d'y accéder, sans succès, l'URL comporte peut-être une erreur de syntaxe].
[NDMR : cette URL fonctionne, et elle indique : Jolon Ca (Canada), en plein milieu d'une route désertique. Est-ce la bonne ?]

4. Chrono : du N, de l'énergie ; et Chromo : du M, de la Terre/matière.
Ainsi les FLEURS, avec leurs couleurs sont des POINTS de contact avec l'INSTANT ou POINT de rencontre codée. Alors la terre Gaïa (la déesse Terre-Mère des Grecques) serait un énorme Point de rencontre. (NDMR)
5. Les grandes pyramides d'Égypte sont les premiers "magnétophones".
a. Je ne suis pas convaincu par cette "chronologie en forme d'arbre". Ce n'est pas encore ça ! (NDMR)

 

À propos des intervenants
Bill Ryan et Kerry Cassidy constituent l'équipe responsable de Project Camelot.
Bill Ryan est licencié en mathématiques, physique et psychologie. Depuis 27 ans, il est conseillé en administration. En novembre 2005, il a créé le site project Serpo (http://serpo.org/) autour d'un programme d'échange entre aliénigènes et États-Unis. (Voir NEXUS n° 45, page 68)
Kerry Cassidy a travaillé près de 20 ans à Hollywood dans les plus grands studios et compagnies indépendantes de production. Elle a écrit quelques scénarios et travaille actuellement comme auteur indépendante, directrice et productrice. Depuis 2005, elle travaille sur un documentaire sur les ovnis.
Bille Ryan et kerry Cassidy sont joignables à support@projectcamelot.org
Pour d'autres informations, voir : http://projectcamelot.org
Les lecteurs qui souhaiteraient voir diffuser des informations confidentielles importantes peuvent s'adresser à Project Camelot qui leur garantit une discrétion totale et une large audience. Email : support@projectcamelot.org.