UFOLOGIE ET VATICAN.

En introduction à l'article du journal NEXUS n° 51 ci-dessous, sur le Vatican et sa relation avec nos FRÈRES DE L'ESPACE, je montre ici l'opinion du Padre Pio sur la question de savoir si nous sommes "seul dans l'univers", ou les univers !
Ce passage est extrait d'une interview de Monseigneur Corrado Balducci par le Docteur Steven M. Greer, dans son livre : Revelations, vol.1, page 94.
- Si Dieu a créé tous ceux-ci, c'est qu'Il donne Son amour et qu'Il Se déploie en tous. C'est Saint Paul qui dit ça. Et le Padre Pio le dit également. Il y a deux choses qu'on a demandées au Padre Pio, qui est récemment devenu un Saint. On lui a demandé si la vie sur d'autres planètes comprenait des créatures de Dieu. Voilà ce qu'il répond : "Pourquoi souhaitez-vous qu'elle n'ait pas été là ? La puissance de Dieu serait alors limitée à cette petite planète qu'est la Terre. Pourquoi voudriez-vous qu'il n'y ait pas d'autres créatures, d'autres gens, qui aimeraient également Dieu ? Hors de la Terre, nous ne sommes rien. Dieu n'a pas limité sa gloire à cette petite planète. Sur d'autres planètes, il doit y avoir des êtres qui n'ont pas pêché comme nous l'avons fait".

Ainsi, je voudrais insister sur ce qu'exposait déjà au 17è siècle, l'écrivain Savinien Cyrano de Bergerac dans son Fragment de Physique, à savoir que se déplacer d'un point à un autre : c'est un échange d'espaces. C'est totalement différent de la conception : se déplacer d'un point A vers un point B et mettant un temps X pour y arriver. D'où les aberrations de convention actuelles de comptages en années lumière pour donner un notion de distance entre deux galaxies ou deux étoiles ! Avec un tel système, nous en sommes encore à l'époque du géocentrisme (croire que le Soleil tourne autour de la Terre) ; ainsi, quand il est question de "visiteurs" venant d'une autre galaxie ou d'une autre planète se trouvant dans notre galaxie, on met en avant l'impossibilité à cause des distances liées à la censure de la soit disant limite de la vitesse de la lumière ; et pour les Terriens qui ont observés de ces vaisseaux spatiaux ou ovnis, on invoque des phénomènes optiques, ou météo, ou encore de l'hallucination collective !
Donc le concept "d'échange d'espaces" permet les déplacements d'une galaxie à une autre en se moquant du temps ! et surtout des cochonneries d'années lumière...
S'il y a de plus en plus "d'apparitions" d'ovnis depuis 60-90 ans, et par rapport à la période de l'antiquité à nos jours, c'est pour l'hypothèse suivante : les "extraterrestres" s'inquiètent (mais peut-on se permettre d'interpréter leurs pensées ?!) des dérives et des surenchères technologiques que les humains construisent, et surtout ne savent pas employer avec bon sens, pour ne pas dire avec sagesse. La technologie du nucléaire en est un des exemples.
En 100 ans nous avons pollué notre planète Bleue dans la même proportion que pendant 5000 ans ! Nous fabriquons des jouets trop puissants pour être confié à des "grandes personnes"...

Planète X, contacts E.T.
Confessions d'un AGENT SECRET DU VATICAN.
Première partie.

(Article du journal NEXUS de juillet-août 2007, n° 51, p.55-62)

Au cours de l'année 2000, le journaliste italien indépendant Cristoforo Barbato est contacté par un père jésuite qui tient à divulguer des informations déterminantes pour l'avenir de l'humanité : l'approche de la planète X qui bouleverserait déjà le système solaire, et la présence sur Terre d'aliénigènes en contact depuis les années 50 avec le Saint Siège...
Au passage, Barbato découvre l'existence de l'Agence Vaticane de Renseignement, le SIV...

http://www.bibliotecapleyades.net/sociopolitica/
esp_sociopol_secretumomega03.htm

Par Luca Scantamburlo © 2006

L'homme est jésuite. Il se présente à Barbato comme étant un familier du Vatican travaillant pour le Saint Siège. D'abord sceptique et méfiant à l'égard de ce contact soit disant «initié», Barbato analyse et vérifie ses références (en se gardant, comme le veut son éthique de journaliste, d'indiquer sa source) : il s'agit bien d'un prêtre jésuite, œuvrant à la Cité du Vatican. Après quelques échanges par mails, le journaliste italien demande que leur dialogue se poursuive de vive voix. Malgré le danger, vraisemblablement conscient que cette rencontre est préférable vu l'énormité des révélations qu'il s'apprête à faire, l'homme du Vatican accepte.
Deux rencontres ont donc lieu à Rome, en 2001 (voir l'interview sur la page suivante). Barbato apprend que des dissensions règnent au sein du SIV, un groupe minoritaire désapprouvant la politique conduite à propos de la planète X. À partir de là, il est clair pour Barbato que la démarche du jésuite ne procède pas d'une simple trahison, mais d'une révélation dont l'enjeu est de taille la survie de notre civilisation.

La « vidéo jésuite »
Avant même leur rencontre à Rome, le contact du Vatican avait fait parvenir à Barbato, en guise de preuve, une bande vidéo - que je nomme la « vidéo jésuite » - destinée à alerter le public. D'une durée d'environ deux minutes, elle évoque l'observation d'un planétoïde couvert d'une atmosphère épaisse (la présumée planète X) se dirigeant vers le système solaire, bien qu'encore en dehors de l'orbite de Neptune.
La bande, que j'ai eu plusieurs fois l'occasion de visionner, est assortie de diverses classifications, dont la « Secretum Omega », le plus haut niveau de secret du SIV, comparable au « Top Secret Cosmique » (CTS) de l'Otan. Il paraîtrait que l'image a été prise par une camera embarquée dans une sonde spatiale secrète appelée Siloe. Le contact de Barbato lui explique que la sonde, commandée secrètement chez Lockheed Martin, est équipée d'une caméra infrarouge sophistiquée ainsi que d'un système de propulsion à impulsion électromagnétique. L'engin a été assemblé à l'aire 51, dans le Nevada, et placé en orbite par un appareil secret hypersonique de type Aurora, dans les années 90. (Pour des détails sur Aurora, voir le site de J.P. Petit et son livre Ovnis et armes secrètes américaines). Selon le jésuite, la sonde Siloe a envoyé des images du planétoïde en octobre 1995 vers un radiotélescope secret, entièrement géré par des jésuites appartenant au SIV, et dissimulé dans une raffinerie de pétrole désaffectée en Alaska. Il précise que le radiotélescope a été construit en 1990 dans le but d'observer les corps célestes inhabituels s'approchant du système solaire. Quant au planétoïde visible sur la vidéo, le jésuite indique qu'il s'agit de la planète X (la Nibiru des Sumériens ; voir NEXUS n° 50, p. 10).

Une très grosse planète
Cette planète encore ignorée de l'astronomie moderne produit des perturbations analogues à celles que décelèrent Lowell dans les mouvements d'Uranus, et Pickering, dans ceux de Neptune. En 1978, James Christie, astronome à l'observatoire de la Marine américaine, découvre le satellite de Pluton et calcule la masse du couple Pluton Charon. Au passage, les calculs indiquent la présence probable d'une très grosse planète encore invisible (1)...
De son côté, Barbato attendra le 30 avril 2005 pour se décider à révéler cette incroyable nouvelle et à montrer la vidéo au public. La projection a lieu au Palazzo della Provincia, à Pescara, sur la côte adriatique italienne, au cours d'une conférence organisée par la Ufobserver Cultural Association et intitulée : « Ovnis ? La vérité est top secrète : de l'Aire 51 à la Planète X ».
Toutes ces années, Barbato s'est efforcé de rassembler des indices confirmant l'existence de la planète X/Nibiru et du SIV. Concernant ce dernier, il a trouvé des indications historiques explicites importantes dans le livre de Mark Aarons et John Loftus Ratlines (chapitre I). J'ai moi même trouvé une référence indirecte dans un livre du lieutenant colonel italien Umberto Rapetto et du journaliste Roberto di Nunzio (L'atlante delle spie, BUR, Milan, 2002). Dans le chapitre V (Lo spionaggio in porpora : il Vaticano), p.89, §2.3 (Le nunziature) il est question d'un certain Robert A. Graham, un jésuite qui fit jadis allusion à l'existence d'un Service Secret du Vatican. S'agit-il de désinformation ou bien de la divulgation progressive d'une information secrète ?

Étranges anomalies dans le système solaire
Parmi tout ce que le jésuite du SIV a raconté à Barbato, deux choses sont, de mon point de vue, inquiétantes : la planète X aurait commencé à faire sentir ses effets sur le système solaire au plus tard au début de 2004 (voir mon interview de Barbato dans UFO Notiziario n°62, avril-mai 2006, p. 40), ce qu'un certain nombre d'indices tend à prouver. D'autre part, le soleil et certaines planètes et satellites du système solaire ont également manifesté des signes anormaux.
Prenons d'abord le Soleil. Avec de la patience, vous pourrez consulter les données enregistrées par le radiohéliographe de Nobeyama (NORH), un radiotélescope japonais qui fonctionne en tant qu'interféromètre spécialisé pour l'observation solaire (voir la newsletter cosmologique mensuelle Shooting Star du 21 mars 2003, http://www.detailshere.com/solaractivity.htm).
Dans l'article intitulé « The truth about global warming : it's the Sun that's to blame » [La vérité sur le réchauffement global : c'est le Soleil qui en est la cause], de Michael Leidig et Roya Nikkhah, publié dans le Telegraph de Londres le 18 juillet 2004 (http://www.telegraph.co.uk), on peut lire ceci : « Le réchauffement global est enfin expliqué : selon des recherches récentes, la Terre se réchauffe parce que le Soleil brille plus fort qu'il ne l'a jamais fait depuis le dernier millénaire.
Une étude menée par des scientifiques suisses et allemands indique que le rayonnement croissant du Soleil est la cause des changements climatiques récents... Le Dr Solanki a déclaré que ce sont à la fois l'accroissement du rayonnement solaire et le niveau des gaz à effets de serre, tels que le dioxyde de carbone, qui contribuent à la modification de la température terrestre, mais qu'il est impossible de dire lequel des deux est prédominant ».
Parmi les planètes et satellites du système solaire présentant des activités atypiques, citons :
Pluton : Selon les astronomes, « bien que son orbite très excentrique l'éloigne en ce moment du Soleil, Pluton connaît un réchauffement de sa mince atmosphère » (voir « SUV sur Jupiter ? - réchauffement du système solaire : les hommes seraient-ils responsables de changements climatiques aux confins du système solaire, ou serait-ce le Soleil ? »
Triton : James Elliot, astronome au MIT déclare :
«... depuis 1989, Triton (un des satellites de Neptune) subit un réchauffement global ». (http://www.scienceagogo.com/news/
19980526052143data_trunc_sys.shtml
).
Mars : En 2001, le JPL (Jet Propulsion Laboratory) de la NASA fit savoir que la camera de la sonde Mars Orbiter avait observé, au pôle sud de Mars, des changements qui témoignaient d'un changement de climat sur cette planète, (http://mars.jpl.nasa.gov/mgs/msss/camera/
images/CO2_Science_rel/index.html
).
Jupiter : Le 4 mai 2006, un article qui titrait « De nouvelles tempêtes sur Jupiter laissent supposer un changement de climat » rapportait que « ... le télescope Hubble photographie le développement d'une nouvelle tache rouge... Baptisée Red Spot Jr [Tache Rouge junior], elle s'est formée après l'apparition de trois tempêtes blanches de forme ovale, dont deux doivent avoir au moins quatre vingt dix ans, et qui se sont fondues l'une dans l'autre entre 1998 et 2000. (http://www.space.com/scienceastronomy/060504_red_jr.html).
Saturne : Des images de la sonde Cassini du 11 octobre 2006 montrent un ouragan, dont le diamètre égale les 2/3 de celui de la Terre, qui fait rage au pôle sud de la planète, (http://news.bbc.co.uk/1/hi/sci/tech/6135450.stm).

Alerter l'humanité
Ces événements du système solaire, ainsi que les découvertes troublantes de Cristoforo Barbato, réclament toute notre attention. Ils devraient alerter le public sur l'arrivée de la planète X et sur les problèmes d'exopolitique, à savoir l'implication des gouvernements dans la question des ovnis et la manière dont, jusqu'à présent, les affaires extraterrestres ont été confisquées par les États-Unis, ou un certain gouvernement de l'ombre (sans contrôle de la part du président, du Congrès ou du Conseil national de sécurité).
Je pense que la seule façon de savoir ce qui se passe réellement sur la Terre et dans le système solaire, c'est de soutenir des chercheurs tels que le Dr Steven M. Greer, le professeur Michael Salla (http://www.exopolitics.org), l'historien Richard Dolan, le journaliste Cristoforo Barbato (http://www.secretumomega.com) (http://www.secretum-omega.com/) et bien d'autres qui, tous, comprennent l'importance d'élargir les horizons de l'humanité dans toutes les dimensions, tant matérielles que spirituelles. Ce n'est que comme cela que nous aurons une chance d'éviter les luttes fratricides et les horreurs du conflit nucléaire qui nous menace.

(Traduction : André Dufour)

 

A propos de l'auteur
Luca Scantamburlo est né à Trévise (Italie) en 1974, et est diplômé dans l'industrie chimique. En 2006, il a reçu le diplôme de l'université de Ca'Foscari avec une thèse sur la bioéthique intitulée : L'humanité de demain à travers la science fiction. De la génération de l'homme à la fabrication de l'homme machine.
http://edicolaweb.net/ufost15g.htm

Page sur ce qui pourrait être un "canular", ou sorte de "vrai faux" !
Prudence tout de même : à chacun de se faire sa propre opinion !

Autres liens sur le Vatican et nos Frères de l'Espace.
http://www.ovni007.com/id122.html
http://www.extraterrestres.ch/Le%20grand%20secret.htm

 Voir aussi la page pour lever le secret sur le problème OVNI.

(1) Note du traducteur
Percival Lowell (1855-1916) et William Henry Pickering (1858-1938) conclurent par leurs calculs à la présence d'une planète extérieure, qui s'avéra être Pluton, découverte visuellement par Tombaugh en 1930. Quant à Charon, son diamètre atteint la moitié de celui de Pluton, si bien que l'ensemble est considéré comme un objet double en rotation autour d'un barycentre commun ; sachons enfin que, depuis peu, ce couple n'est plus compté dans la catégorie des planètes, mais dans celle des astéroïdes.

 

 Suite sur la page 2.