Le Jeu d’Enfant sera détruit
par la raison, par le calcul ou mental qui coupe les cheveux en 6 en compagnie de la bifurcation, dérivation sentimentale surtout des deux religions : le judaïsme politique et le christianisme politico-moral.
Le JEU c’est le GATE GATE(1), l’anti-certitude ou anti-coagulation.
Jeu que l’on retrouve dans la composition de Hiéroglyphes égyptiens, et dans la ”Langue euphonique des Oiseaux” (euphonie : harmonie des sons qui comme les notes de musique forment une mélodie-phrase).
La RE-construction en speed de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris est le symbole même de CE MONDE PROMÉTHÉEN DU FAUX ET DE L’ARTIFICIEL INFORMATIQUE QUI NE FAIT QUE RÉ-ITÉRER (RE-construire la cathédrale).
Mais, RÉ-assurer, RÉ-conforter (les fidèles de la cathédrale), ce n’est que RÉ-itérer.
PROBLÈME : RÉ-itérer, RÉ-assurer, RÉ-conforter, n’est pas ITÉRER, ni CONFORTER : le lien n’est qu’en ”COMME SI” ou IMAGÉ, la liaison ou fluidité n’est pas rendue effective : l’Être n’est pas assuré : A sur E (trident de Shiva et des Divinités de l’Eau Prim.).
LEUR MONDE DU FAIRE/FER QUI ROUILLE.
Ce monde prométhéen du faux et de l’artificiel informatique ne fait que « jouer à Dieu » = un faux jeu d’enfant tel le croque-pomme d’Ève l’actuelle technologie occulte utilisée par les têtes d’œufs malades qui veulent jouer à Dieu envers leurs troupeaux des milliards d’humains.
LEUR MONDE DU FAIRE/FER QUI ROUILLE = LA RUE PASSANTE DU ”CIRCULEZ YA RIEN À VOIR” (puisque c’est la rue « où ON passe » : le ‘ON’ de la dépersonnalisation, le ‘ON’ du consommateur et circulez… consommez….)
Idem avec le TUertoiement (tutoiement meurtrier) qui rappelle que VOUSOYER (14è siècle) s’est transformé en l’actuel VOUVOYEZ typique de cet actuel POUR-VOIR (pouvoir et prométhéeisme : les ravages du mental et de son Faire/Fer ou pragmatisme, de son UTILITARISME MERCANTILE).
Or le T, le Tau de la crucifixion c’est la COAGULATION, le FIXATION, la TENUE, le RE-TENUE opposé à V, à l’Êtreté et à la Fluidité-Transparence du Gate Gate : ITérer.
PARADOXE de ITérer.
– ITérer = Ne pas attacher un Instant qui passe à un autre Instant. Car ce sera alors une mise en valeur du temps comme actuellement dans une totale intervention de l’ego, le consommateur.
– ITérer = la cathédrale Notre-Dame-de-Paris, dont exotériquement ou vulgairement on ne sait toujours pas l’origine de l’incendie !!!
ITérer = le Gate Gate comme le mouvement naturel de l’Existence.
IT est RE : la Chose ou le EST par EX-cellence.
Et vu l’Ambiguïté de toutes choses, la RÉ-instauration de l’Être en sa Source, son Soi, sera PERCE-VOIR dans les apparences, dans les ”COMME SI”, sous les formes et trans-formations suivantes :
T vers I vers Point. Ce qui en fait un POUR-VOIR, UN DEHORS, TELLE L’ÉGLISE DE ROME ET SES ÉGLISES ET CATHÉDRALES.
Ceux qui professent mondialement en la croyance en un Dieu unique identique au régime républicain dont les préposés le qualifie d’”universel”, devraient alors comprendre qu’on ne saurait croire à la dualité Dedans-Dehors qui entraîne la SAISIE. Donc qu’on ne saurait honorer les EF-Forts pas plus que l’Ascétisme comme moyen de soumission à ce qu’ils nomment ”Dieu”.
ÉSOTÉRISME est cette assertion : L’INTROUVABLE DONC L’INNOMMABLE, LE TERRORISTE, L’EXCRÉMENT COMME DIEU SONT CACHÉS.
Ainsi, L’EXISTANT, le POUR-VOIR, donc ce qui ne sera pas caché, sera opinioné comme ”réalité” parce qu’avec les cinq sens du mental on peut le Pour-Voir (sentir, toucher…).
Le CACHÉ sera « sale » parce qu’INNOMMABLE, CACHÉ. Le POUR-VOIR fera dans la dualité DEDANS-DEHORS en SAISIE : NOMMER LA CHOSE, DONC LA FAUSSÉ : le Vrai devient faux dès qu’il est vue ou possédé.
MISE EN VALEUR DU TEMPS = FABRIQUER LE CHAOS : NOMMER, VERBUM : Ceci n’est pas ”sale” car c’est CECI, CELA (on dé-couvre, on opinione).
C’est Ici que se situe la grande différence entre PERCE-VOIR, et POUR-VOIR.
– Dans Pour-Voir il y a nécessairement l’egopinion ! Dans Pour-Voir il y a l’egopinion qui faire VOIR-SENTIMENT et POSSESSION.
Le Vrai devient faux par la vue et l’observation : le Vrai est OXYDÉ.
– PERCE-VOIR = la vision éthérique ou À TRAVERS (Gate Gate), traverser et voir en même temps les objets opaques ou sombres. Dans PERCE-VOIR on ne communique pas, on passe À TRAVERS, on est FLUIDE, TRANSPARENT, SANS MASSE, LE VENT, on ne communique pas parce qu’on voit EN PASSANT, tout simplement. (Communiquer C’EST POUR-VOIR, C’EST COMMERCER, le TROC, ÉCHANGER, TROQUER, FINANCER, OPINIONER, RÉSEAUTER, NÉGOCIER, DÉBATTRE, GUERROYER, RUINER, POLLUER, POSSÉDER. Quand on aime dans le spatio-temporel c’est l’opinion et l’amour : la SAISIE, DANS LES DEUX CAS ON EST EN DUALITÉ SUJET-OBJET : ON ATTEND QUELQUE CHOSE DE L’AUTRE : il y a une main qui demande la réciproque, ce n’est JAMAIS gratuit).
DANS PERCE-VOIR rien n’est transporté ou saisie comme si c’était un objet de commerce ou d’échange, L’INFORMATION N’EST PAS UN OBJET, N’EST PAS UNE OPINION POSSÉDÉE, ELLE NE FAIT QUE PASSER COMME UN DÉCODAGE DE CE QUI ÉTAIT AUPARAVANT DANS LE SAINT CHAOS.
PERCE-VOIR sera que vous ne parcourez plus le Sentier du POUR-VOIR, ainsi vous n’êtes plus obligé de le suivre, vous n’êtes plus soumis au Dehors, vous pouvez être en GATE GATE dans le PERCE-VOIR.
POUR-VOIR AMBIGUÏTÉ SE TRANSFORME EN PERCE-VOIR : l’ego de chacun agit sur l’objet devant lui et ainsi le forme-déforme comme le Vrai cesse d’être vrai dès qu’il est vu, au sens du PERCE : dia-able ; À TRAVERS, DIA-gonale, en GATE GATE. C’est alors le SOLVE de l’Alchimie avant un nouveau COAGULE, dans le ’tic-tac’ du Solve-Coagule.
DIA-ble, GATE GATE = SENTIER, pelegrinus ”étranger, voyageur”, est ainsi favorisé par le Solve-Coagule ou Chaîne et Trame (trait, point) pour en Perce-Voir l’Unité, comme sans attachement à chaque Instant ; ce sera alors l’A-cheminement (du A privatif et chemin : sans chemin, sans saisie, sans attachement ou sans coagulation). Explication du Soi, du EST, du « Je suis ce JE-SUIS ».
CACHÉ : Ils sont introuvables pour la raison naturelle que Nous sommes l’Univers et que la racine du mal fait SORTIR de l’Univers comme pour l’examiner et POUR-VOIR comment il fonctionne : ON SORT DU TROU
POUR EXAMINER LE TROU, et comme dans un Trou il n’y a rien d’autre que le Trou : pas de Trou à voir.
POUR-VOIR OU POUVOIR SIGNIFIERA ALORS :
D’É-couvrir : augmentation de l’ego par l’opinion ou le recouvrement de toutes choses par le MASQUE LE RIDEAU DE SON EGO, CE SERA LA CHUTE : SORTIR, DEHORS, SAISIR… ET TENTER D’AMÉLIORER LA CONDITION HUMAINE.
Les IN-formations que tout système : politique, religieux, scientifique, philosophique, rendent INFORMÉS (tels ”Les informés” l’émission totem de la radio d’État France-infos) : PRISONNIER DES FORMES OU DES COAGULATIONS. Les Pour-Voir ou Témoins (souvenance du T) du parcellaire en petits bouts de machin évidemment non fiables,
ACT-I-Fs, AN-I-Més du Vraie Feu.
L’informatique des industries capitalistes de l’informatique créent les robots (l’exemple du smartphone et autres écrans plats est suffisamment parlant !).
- Le Jeu d’Enfant c’est encore l’ego à l’état de SINGULARITÉ : le Jeu divin (d’I-venu) : d’où le mot Dieu (D’I-EU) et le sanskrit Lila (le I est là), le Jeu divin. Hélas, le I est devenu le J par mise en valeur du temps (côté gauche), dans sa mémoire, dans sa zone de connaissances temporelles (la culture).
De nos jours du consommateur, le Jeu et Je n’est plus d’Enfant mais celui du MASQUE (la Persona si présente pendant l’épisode Covid-19). Ainsi le ‘je’ moderne, le jeu moderne, est l’inverse du Jeu d’Enfant : une inversion du IL (impersonnel ou sentiment océanique comme l’Isle(2)), ou une inversion du L (El divin). Chaos du Moi-Individuel et du Moi-Collectif.
RAPPEL : la racine Joc (jocus, jeu : voir joker), se trouve dans l’ancêtre de ‘Je’ (JO de Ego). Et le passage du JEU au Je ou du Je au Jeu se fait par U : l’ouverture donc par le GATE GATE, les PORTES.
Pour Ramana Maharshi (entr. 492 du 08-05-1938), la Colline d’Arunâchala (photo en haut de page) est le linga de Shiva (3), avec l’Absolu, et l’Être parfait. « Originellement, Shiva apparut sous la forme d’une Colonne de lumière. Lorsqu’Il fut prié de se manifester concrètement, la Colonne de lumière disparut dans la Colline et se manifesta sous la forme d’un lingam. Les deux, lumière et lingam, sont Shiva ».
Notes.
1. « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). S’accompagne nécessairement de la Connaissance transcendante par le Principe du ”N’EST PAS X” : revient à dire que les choses ne sont que des désignations, des pointages sur les choses, de simples imputations nominales (en tibétain : tha-snyad), elles sont dépourvues d’être en et par soi, ELLES NE SONT PAS POSSÉDABLES PAR LE MENTAL, ON NE DOIT PAS EN FAIRE UNE VALEUR POSSÉDÉE (genre ”valeurs de la république” ou ”ordre républicain”, ou ”notre démocratie”). Non possession tel l’avertissement traditionnel de ne point se fixer ou se ”coaguler”.
”Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi”, ou : ”Parti, parti, passé au-delà, traversée la rive, Éveil, Salut !”, ou encore : ”Venant, venant par-dessus, venant directement, Éveillant, Bienvenu !”
SORTIR DE L’ABSOLU = S’ATTACHER À.
Qu’il faille s’attacher à certain Instant, c’est certain, Mais SANS fixation, sans coagulation conformément au principe du « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). S’attacher à un Instant comme on se promène dans un Paysage. S’attacher = cultiver pour soi-même, coaguler, fixer ou concentrer, stocker, CELA MÈNE AU POUR-VOIR, LE POUVOIR DES VOYEURS : UN CONSOMMATEUR DE CONCENTRATION DEVIENT UN BÉNÉFICIAIRE : IL S’ATTACHE, IL FABRIQUE UNE DURÉE DE CONCENTRATION.
LA CONTINUITÉ DE LA PRÉSENCE CULTIVÉ OU ARTIFICIELLE D’INSTANT EN INSTANT DEVIENT, EN ELLE-MÊME, SUSPECT, CAR CHARGÉ D’EFFORT DE SPATIO-TEMPOREL : ÉCHO DU VIOL PAR L’EGO, D’OÙ L’AVERTISSEMENT TRADITIONNEL : « NE PAS ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT ».
Lorsque l’état d’attention divisé en sujet-objet dissout le centre fictif : le ‘Nous’, là commence le SUBJECTIF en forme du CHAHUT DE L’EGO qui peut se confondre avec ZÉRO INDIEN en une sorte d’ENTRE-DEUX chargé de promesses. C’est là qu’entre la clé principale : LA SIMPLICITÉ. Clé qu’IL NE FAUT JAMAIS PERDRE. La concentration fuit le compliqué et le winnerisme et les originalités. C’est pourquoi il n’est rien de plus difficile, surtout à nostre époque de Big Brother et de tous connectés, QUE LE SANS TRACE, de plus délicat que la légèreté dans ce monde du PLOMB-PESANTEUR ou loi de succion vulgaire : comment ne pas laisser de trace dans une neige vierge qui se dépose sur la POINTE de l’Instant ? (Les Artistes-Artisans autrefois NE SIGNAIT PAS LEURS ŒUVRES, le commerce n’était pas installé).
Il y faut l’habit de la PUTRÉFACTION, DE L’INSAISISSABLE, DU NON-DÉSIR.
LE PONTIFE, CELUI QUI FAIT PASSER LE PONT À L’ADEPTE, DÉCLARE : NE VOUS PLANQUEZ PAS MÊME DANS LE SANS TRACE ; ce qui correspond au Principe du GATE GATE et du VOLATIL par rapport au COAGULE (du Plomb). Se planquer, se réfugier = se coaguler….
2. Le sentiment océanique englobe toutes choses, pareil au ”cent mille cours d’eau différents” qui tous sont l’eau de l’Océan à saveur unique mais comprenant toutes les saveurs, tel le Centre est nulle part et la Circonférence est partout. Celui qui demeure dans le sentiment océanique se baigne dans TOUTES LES EAUX : LES EAUX PRIMORDIALES.
Le sentiment océanique du ‘Je’-‘Je’ ininterrompu est l’océan infini ; l’ego, la pensée ‘je’, n’est qu’une bulle à la surface de cet océan ; on l’appelle jîva ou âme individuelle. De même, la bulle d’eau, lorsqu’elle éclate, ne fait que se mêler à l’océan ; et quand elle est bulle, elle fait toujours partie de l’océan. (Réf. à Ramana Maharshi 92 du 7-11-1935).
« Tout comme les fleuves, en se déversant dans l’océan, perdent leur individualité et qu’ensuite les eaux de l’océan s’évaporent pour retomber en pluie sur les montagnes, puis s’écouler en rivières et retourner à l’océan, ainsi les individus, qui entrent en sommeil, perdent leur individualité et reviennent comme individus, selon leurs vâsanâ (tendances) antérieurs, sans en être conscients. Par conséquent, même dans la mort, le sat [réel, juste, existence absolue] n’est pas perdu ». (Ramana Maharshi, entretien 108 du 29-11-1935).
Voir aussi la page : Sentiment océanique Sahaja.
3. Linga ou lingam (mot sanskrit) : symbole Axial de Shiva. À l’entretien 216 du 22-06-1936, le Maharshi explique le sens du nom Arunâchala : Aruna : rouge, brillant comme le feu [l’Axis mundi ou Colonne de Feu, voir ci-dessous]. Ce feu n’est pas le feu ordinaire, qui n’est que chaud. Il s’agit du jnanagni (le feu de la sagesse) qui n’est ni chaud ni froid. Achala : colline. Arunachâla signifie donc Colline de la Sagesse.
Colonne de Feu : Le Feu, Agni, Van ou Souffle, ce qui est insaisissable (ni par les mains ni par le mental). Purificateur Il est Renaissance, comme l’Eau l’est également. L’idolâtrie du feu a donné la thermodynamique.
Ce qui va avec le Feu : LE FUSIBLE (ce qui fond, ce qui est réduit en « Eau », ce qui peut prendre, par le Feu, n’importe quelle forme grâce au FORGERON). En l’humain, seul existe par rapport au Feu et à l’animal autre, cet extraordinaire FUSIBLE : L’HUMOUR, lequel par auto-critique permet le voyage tout-confort dans le « Qui suis-je ? ».
Ce Feu vraiment universel, symbolisé dans la radiation de la Colline d’Arunâchala…
À l’entretien 218 du 30 juin 1936 = « Shiva a les aspects transcendant et immanent représentés respectivement par Son Être invisible et transcendantal et par le linga. Le linga est manifesté, depuis les origines jusqu’à nos jours, sous la forme d’Arunâchala. Cette manifestation eut lieu un mois de décembre alors que la lune se trouvait dans la constellation d’Orion [ârdrâ]. Toutefois, Arunâchala fut adoré pour la première fois un jour de Shivarâtri [nuit de la nouvelle lune de chaque mois (amavasya) pendant laquelle adorer Shiva procure des mérites instantanées], jour considéré comme sacré.
Dans la sphère de la parole; le pranava (le son mystique OM) représente l’aspect transcendantal (nirguna), et le panchâksharî (mantra en cinq syllabes : Namashivaya) représente l’immanent (saguna) ».
Le mot sanskrit linga peut se rapprocher du mot NETER, de l’Ancienne Égypte : Neter, principe et fonctions de la puissance divine se manifestant dans la Nature. Cela correspond aux racines situées dans les mondes spirituels. À chaque force et à chaque événement dans ce monde correspond son analogue dans les mondes spirituels qui est sa racine. Ces éléments correspondent exactement de telle sorte que chaque force spirituelle contrôle une seule force qui est sa branche dans ce monde. (Neter ne prend pas de s au pluriel). Il existe 32 Neter (selon Isha Schwaller de Lubicz).