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Je vais
tenter de conter l'histoire extraordinaire des bibliothèques d'Imhotep et d'Alexandrie. Un
point commun fut leur destruction par le feu, ce grand dévoreur.
Ensuite, l'acharnement contre la bibliothèque d'Alexandrie vient
plutôt de personnes voulant imposer leur censure et façon
de voir à sens unique, où les livres sont considérés
comme dangereux.
Mais avant tout, il vient se mélanger autour de ces deux bibliothèques,
l'apparition mystérieuse d'un animal ressemblant à un petit
félin. Pour le moment en voici une courte description : il était
comme une sorte de chat mais, formé d'un corps presque du même
diamètre que sa longue queue, avec une grosse tête sculptée
par deux grandes oreilles et deux yeux clairs d'un blanc lumineux, comme
vides, ou sans leurs pupilles et leurs iris. Les pattes avant de ce petit
félin possédaient cinq doigts, dont un pouce comme nous humain,
et ce chat, je l'appelle maintenant comme cela, pouvait saisir aussi habilement
que nous les objets.
Sa plus longue apparition en durée, fut pendant le règne
du Roi Djeser ou Djoser ; lorsque celui-ci chargea son médecin et
architecte Imhotep de lui construire le Jardin-Sud-de-la-Pensée-et-de-la-parole. Voici le récit de cette première
apparition.
Imhotep faisait régulièrement des incantations que nous
qualifierons à notre époque de magiques ; mais à son époque,
c'était plutôt des exercices de contrôle d'énergie,
que je qualifierais de psychiques faute de connaissances trop faibles.
Imhotep venait de se faire escroqué par une femme vendant ses
charmes contre monnaie de cuivre, et cela l'avait beaucoup beaucoup beaucoup
peiné.
Le soir de son incantation, destiné à l'aider à trouver
un catalyseur valable pour son projet de fabriquer de la pierre reconstitué (que
l'on appelle actuellement : béton), Imhotep fit des erreurs. Il
n'était pas assez concentré. Rien ne se passa d'anormal
immédiatement. Le matin, un orage éclata, chose rare en Égypte.
Sous un nuage plus noir que les autres, après un faible éclair
et un fort grondement de tonnerre, il tomba quelque chose. Un des auteurs
du récit était présent et s'approcha : il put apercevoir
une sorte de chat (voir sa description plus haut). Il semble évident
que ce chat est tombé du ciel, puisque après un deuxième
fort grondement de tonnerre, il tomba aussitôt un petit miroir.
Le sol était dur à cet endroit et le miroir aurait dû se
briser. Non, il était intact.
Le chat se saisit du petit miroir, il se redressa comme un humain et
contempla son museau duquel émergeaient plusieurs poils de moustache.
Dans la description du chat, j'ai oublié de dire qu'il était
tout noir, noir de fumée de charbon de bois. L'étonnant était
que le reflet du chat dans le petit miroir fut blanc ! ! ! Encore plus étonnant
: il se mit à brandir la face brillante du miroir vers le ciel
et à sortir des sons disgracieux de par sa gueule ; des sons stridents,
graves aussi, comme des reproches et avec colère. Quelques instants
après un troisième grondement fort retentit suivi d'autres "coups
de tonnerre" avec une fréquence bizarre. Le même rédacteur
a pu traduire par : "Pour ta punition, tu es condamné à errer
sur cette terre pendant…". Selon ce traducteur, la fin est
incompréhensible.
D'après ce que l'on peut comprendre simplement de la physique
et dans cet événement : ce qui est à l'extérieur
du miroir est négatif (chat noir), et ce qui est à l'intérieur
du miroir est positif (chat blanc).
Ainsi il y aurait deux chats dans cette histoire, et voici pourquoi.
Mais avant, on peut se poser la question : "est-ce un vrai chat
? Une sorte d'extraterrestre ?" Il n'y a pas de réponse puisque
celle-ci est située dans la question ! Â chacun de se faire
son opinion…
Donc j'en viens à la première bibliothèque du monde
construite par Imhotep. C'est une fois achevé la construction
du Jardin-Sud-de-la-Pensée-et-de-la-parole que le roi Djeser a
eu envie de regrouper les papyrus dispersés dans sa Grande Maison
et dans la Maison de Vie. De plus, à cette époque prospère
et calme, beaucoup d'échanges avec d'autres peuples et d'autres
cultures amenèrent nombre de rouleaux de papyrus, mais surtout
des tablettes d'argile, de cire, et beaucoup de peaux où étaient
dessinées de formidables cités. Tout cela était éparpillé dans
Mur-Blanc la capitale des deux Égypte à ce moment-là,
mais aussi dans d'autres provinces. Avant Djeser, on n'avait pas eu l'idée
de regrouper le savoir de plusieurs peuples ensemble. Trop de guerres,
et chacun restait replié égoïstement sur son territoire.
Après l'inauguration du Jardin-Sud-de-la-Pensée-et-de-la-parole,
Djeser suggéra à Imhotep de faire construire la bibliothèque
Sechou dans le jardin. (Pensez à Sechat,
qui représente
la connaissance et la sagesse ! et voir l'Ennéade
d'Héliopolis). Imhotep en fut heureux car il n'y avait
pas pensé. (On
peut aussi appeler cette bibliothèque : Per-nerch ; per indique
en hiéroglyphe la maison ou le domaine, alors la bibliothèque
peut être assimilé à la Maison de Vie ou école
du temple).
Il se mit aussitôt à en dessiner les plans avec le calame
qu'il maniait si bien. L'inspiration venait un peu péniblement,
et au bout de cinq jours de labeur, à bout de force il s'endort.
Dans son rêve, il rencontre un chat blanc.
J'ai encore oublié de vous dire à propos de la description
du chat, qu'il avait la faculté de pouvoir pénétrer
dans son petit miroir. Ainsi il devenait bon, et évidemment, le
chat blanc derrière le miroir passait aussi et en même temps,
mais pas toujours, de l'autre côté, devenant noir et mauvais
; mais pas toujours ! D'ailleurs le chat noir n'aimait pas pénétrer
dans le miroir, cela lui faisait des choses à ses moustaches.
Pendant son rêve, le chat blanc a dessiné les parties manquantes
du plan de la bibliothèque Sechou. Malheureusement, en dehors
du rêve d'Imhotep, pendant la nuit, le chat noir s'est amusé à frapper
le sol de sa queue. Il déclencha ainsi un certain nombre de vents,
lesquels envoyèrent plein de sable dans le jardin. Au matin, Imhotep
fut tout heureux d'avoir achevé ses plans. Mais quand un des jardiniers
vient lui faire constater les dégâts causés par le
sable de la nuit, il s'est envoyé du sable sur la tête,
puis à fait demander 600 jardiniers pour tout remettre en ordre.
Une autre fois, le chat noir depuis sa chute du ciel, se prend à avoir
un petit gargouillement au creux de son petit estomac. Apercevant au
loin un troupeau de moutons dans une belle prairie proche d'une falaise,
il envoie un reflet de soleil dans l'œil du berger, et celui-ci
s'endort un moment. Aussitôt le chat saute sur le premier mouton
venu, un bien maigre, mais il s'en contente et plante ses deux grandes
dents dans le mouton blanc qui devient vite rouge de sang. Le berger
sort de sa torpeur et court en hurlant vers le chat. Celui-ci jette le
mouton du haut de la falaise, ensuite il frappe de sa longue queue sur
le sol. Un vent souffle et tous les moutons se précipitent du
haut de la falaise dans le vide. Dans la confusion qui s'ensuit, le berger
passe devant le petit miroir qu'agite le chat noir et, c'est le chat
blanc à l'intérieur qui fait signe au berger de venir.
Dans l'instant, le berger se retrouve près du chat blanc, lequel
pointe son miroir vers un des bords de la falaise. Aussitôt tous
les moutons regrimpent dans la prairie un à un. Même celui
que l'on croyait croqué par le chat noir resurgit, juste un peu
plus rosé que la blancheur des autres ! Dans le miroir le chat
noir crie et s'agite !
Une autre fois encore, c'est le chat blanc qui a conseillé au
chat noir d'entretenir le miroir, lequel est tout de même commun à eux
deux. Il expliqua au chat noir : "Si tu casses par méchanceté notre
miroir, ou par colère, ou par accident, tu dois trouver les eaux
qui séparent l'obscurité des métaux, et ensuite
en former ce métal duquel ils sont faits. Attention que le glacis
conserve une couleur rouge sang ; mais ensuite tu dois faire fondre
la matière et la laisser refroidir jusqu'à ce qu'il s'en
forme une glace. Là, tu la devras polir habilement. Attention
aux délais, à cause
des règles de dioptriques, tu dois respecter le rythme et les
délais des opérations : pas plus de 48 heures entre le
refroidissement de la matière et la fin du polissage. Si tu veux
approfondir, tu pourras garder un peu de l'eau rouge de l'obscurité des
métaux. Ainsi tu pourras tisser un habit qu'aucun couteaux, épées
ou lances ne pourront entailler ; et même tous les projectiles
qui pourraient toucher cet habit seront renvoyés à leurs
sources, entends-tu ! : renvoyés à leurs sources. Ce n'est
pas fini : encore bien plus. Si tu parviens avec l'eau rouge à la
refroidir en un temps de … (lacune) minutes et à façonner
un vase pour boire ; la première fois que tu boiras dedans, tu
n'auras plus jamais ni soif ni faim. Et ce que tu verseras ensuite se
transformera en cristaux plus dure que la silice (diamants). Tu auras
là un vase rééquilibreure de vibrations.
J'en reviens à l'événement des moutons, car il y
a une suite. Le chat observait dans le miroir son collègue chat
blanc et le berger ayant retrouvé ses moutons. Trop heureux il
se mit à chanter. Le chat noir essaya diverses orientations du
miroir, et à un moment il comprit distinctement toutes les paroles
de la chanson du berger, et il se mit à chanter en même
temps. Intrigué, le chat noir couru de ses quatre membres au sol
vers l'une des maisons la plus proche. Là, il se disposa au bord
d'une ouverture et en orientant son miroir, il comprit toutes les paroles
des humains qui se trouvaient à l'intérieur. En pointant
le petit miroir vers l'horizon, il sut les coordonnés exactes
de l'endroit où il se trouvait.
Encore une fois, un des auteurs du récit rapporte : le chat s'interrogea
: "Pourrai-je devenir bon avec mon miroir ? pourrai-je comprendre
toutes choses, le haut comme le bas ?
La bibliothèque Sechou fut achevée rapidement, le chat
blanc facilitant un peu les événements de temps à autre,
et le chat noir faisait encore quelques méchancetés, mais
il était maintenant porté plus à s'interroger sur
son devenir.
Lors de l'inauguration, pendant les chants des prêtres, il y eu
de curieux échos : c'étaient le chat noir et le chat blanc
qui accompagnaient les prêtres.
Le premier drame des deux bibliothèques survient en fin du troisième
mois Chemou. Le matin, les jardiniers brûlaient des branches de
la taille de 250 petits oliviers. L'odeur était délicieuse,
trop délicieuse. Si bien que les narines du chat noir ne pouvaient
le supporter. Il se mit à frapper le sol de sa queue, ce qui déclencha
le vent de Subsolanus (Vent d'Ouest). Le
feu des branches d'oliviers coupés se propagea rapidement et atteint
le bâtiment de
la bibliothèque. Des jardiniers sonnèrent les trompes.
On fit plusieurs chaînes pour acheminer de l'eau ; mais le feu
trouvait bon ces nouveaux matériaux et il fit une grande bouchée
de la bibliothèque Sechou. Imhotep et des serviteurs purent sauver
plusieurs centaines de papyrus. Il paraît qu'avaient échappé du
désastre les cartes des anciens continents du temps des races à peine
matérialisées où n'étant pas complètement
tombé dans la matière ou le mal. Le chat blanc fit bien
pleuvoir, mais encore une fois, il était trop tard. De colère,
le chat blanc sortir du miroir, coupa en deux le chat noir avec son poing.
Ainsi le miroir explosa, et ce qui restait des trois chats disparu dans
une poussière grise soulevée par le vent Favonius (Vent
d'Est).
Après ce drame Imhotep fit restaurer le jardin, mais il ni eu
pas de bibliothèque ; Djeser ayant renoncé à la
poursuite de son projet. Voici le récit de la deuxième apparition.
Apparemment le chat au miroir réapparu de la même manière à l'époque
de la construction de la bibliothèque d'Alexandrie. Mais
là,
il n'est pas la cause de la première destruction de la bibliothèque
d'Alexandrie, qu'on a voulu mettre sur le dos de Jules César.
Il y a bien eu un incendie du port ordonné par cet empereur
Romain, mais je vous conte plus loin la cause exacte.
Un des gardiens de la bibliothèque avait découvert le chat
noir en train de lire un papyrus à l'aide de son miroir. Croyant
qu'il rêvait ou que c'était la bière de la veille
qui était mal passé, il crut à une hallucination.
Le chat noir lui parla et il le menaça de le faire renvoyer pour
avoir laissé pénétrer un animal étrange et
peut être dangereux dans la bibliothèque. Pris de peur,
le gardien se mit à caresser le chat ; mais celui-ci lui donna
un coup de miroir sur la tête. (Côté non glacé,
sinon le gardien passait du côté du chat blanc !)
Plus tard, le gardien fit bon ménage avec le chat noir, et pendant
quelque temps. Un soir, le chat noir s'assoupit. Le miroir était
posé à ses côtés près de sa main, sa
patte si vous voulez. Le gardien n'étant pas loin passa près
du chat noir. Alors le chat blanc lui fit signe. Le gardien commença à frissonner
de peur. Le chat blanc sorti du miroir et tira par la main le gardien.
Tous deux entrèrent dans le miroir et se retrouvèrent non
pas le soir, mais vers midi, à une autre époque.
Toujours selon un des auteurs, il est mentionné : Regarde dit
le chat blanc : "Voici ta bibliothèque d'Alexandrie "maintenant",
mais un "main-tenant" ayant glissé et sous la même
lumière et avec la même granulosité qu'actuellement,
bien que ce soit le soir ici. (Précision : il s'agit de la Bibliotheca
Alexandrina, inaugurée en Égypte moderne en 2002, année
comptée à partir de la vie du prophète Jésus
de Nazareth). Je te montre ainsi l'avenir. Veux-tu en savoir plus ? mais
attention, je ne peux te montrer qu'un ensemble". Le gardien déjà si
effrayé répondit que cela lui suffisait et qu'il était
heureux comme le dieu Ptah qu'on ait si habilement transformé sa
bibliothèque.
Hélas, il y eu un "trou" de presque 2000 étés
entre la énième destruction de l'ancienne bibliothèque
d'Alexandrie et la construction de la moderne. Moderne pour combien de
saisons ?
Tout de même, le chat noir mit le feu, indirectement, à la
bibliothèque. Un soir, à la fermeture aux visiteurs de
la bibliothèque, le gardien fatigué par ces évènements,
lesquels lui avaient un peu détraqué le système
digestif, fut pris d'une fringale. Il alla dans le poulailler attenant à l'un
des bâtiments, prit quelques œufs frais bien sûr, et
se prépara à se confectionner une gigantesque omelette.
Il ajouta des herbes sur les conseils du chat noir, lequel n'était
jamais loin du gardien. Dans une grande casserole de cuivre, il cassa
tous ses œufs ; puis il les battit. Il arriva le moment de la cuisson.
Et là il s'activa à mettre des bûches dans l'âtre
du fourneau de cuisson. Il posa une grande poêle sur le gril du
fourneau de briques rouges, frotta 2 silex et mis le feu aux brindilles
placées sous les bûches. Le feu, tout heureux qu'on lui
ai donné naissance, et aussi heureux d'avoir autant de bois à manger
commença à émettre des ronflements puissants. Seulement
au lieu de surveiller son omelette, le gardien s'était assis sur
un banc et commençait à s'endormir. Le chat noir dans son
coin avait un sourire mauvais, tout en commençant à saliver
et à renifler fortement.
Au bout d'un temps ni court ni long, le feu emporté par son
festin et demandant toujours plus, se mit à dévorer ce
qui était
en dehors du fourneau. L'omelette fut trop cuite, les bras du feu
se multiplièrent et gagnèrent des torchons suspendus
pas bien loin. Le gardien se réveilla dans une fumée
déjà épaisse.
Il couru chercher un saut d'eau ; mais étant seul, le résultat
fut nul. Le gardien s'en alla chercher de l'aide auprès
de ses confrères, lesquels arrivèrent bien vite.
Bien vite aussi le chat noir s'enfuit. Le blanc sortit du miroir,
et tapa de ses poings, ou ses pattes si vous voulez, sur la gueule
du noir. Heureusement
qu'aucun humain ne les vit à ce moment-là (sauf
l'un des rédacteurs du récit : voir plus bas).
Les deux chats disparurent ainsi avec le miroir ; et cela fait presque
2000 étés qu'on ne les a pas revu. Peut-être que
les bibliothèques ne les intéressent plus ? ! Mais je n'en
suis pas si sûr ! !
Ainsi, pour une histoire d'omelette, brûla pour la première
fois la bibliothèque d'Alexandrie. D'où me vient ce récit ? Et bien d'un rouleau de papyrus
de 9 mètres de long, découvert dans une jarre qui était
bien scellée, et dans un endroit que je ne puis vous révélez.
Sur ce papyrus, probablement écrit, comme il est mentionné maintes
fois plus haut, par plusieurs personnes, et en un temps assez court ;
il est mentionné plusieurs choses. Bien sûr la construction
du jardin et de la bibliothèque Sechou par Imhotep ; mais il est
aussi mentionné la construction de l'autre bibliothèque
: celle d'Alexandrie. Celle-ci, appelé "Museion" (Musée
: de muse, aussi un amusement est une privation des muses et de leurs
Arts ; du a privatif) fut construit sous l'instigation d'Alexandre le
Grand (appelé Grand à tort selon moi). Cet Alexandre pris
cette idée de Museion auprès d'Aristote, lequel piqua l'idée à Imhotep à n'en
pas douter !
Ce papyrus est daté de la 11ème année, saison Peret
2ème mois 11ème jour (soit notre
26 décembre moderne). Évidemment,
en partant de cette date, comment voulez-vous qu'il soit fait mention
de la construction, ou même du projet de la bibliothèque
d'Alexandrie plus de 2000 étés après celle d'Imhotep
! ?
Selon mon humble avis, et d'après les dessins peints au calame
(peut-être de la main d'Imhotep), il doit être possible de
parcourir le fil du temps : soit en avant, soit en arrière. Maintenant
quant à savoir s'il y a eu des modifications d'événements
au cours de ces déplacements dans le futur ou dans le passé,
je me garderai de donner mon opinion.
Seule certitude : la couleur BLEU représente le futur, la couleur
ROUGE le passé, et l'INSTANT est le BLANC. La complexité,
apparente, de cette représentation de ce que nous appelons ici "TEMPS" vient
du fait que les 7 couleurs de l'Arc en Ciel rassemblées forment
le BLANC ! Donc l'INSTANT est à la fois UN et TOUT. C'est ni plus
ni moins la Trinité de la religion Chrétienne, ou encore
le AUM sacré des Bouddhistes.
Tout en bas de la page, vous pouvez voir le troisième
tableau de la série des chats au miroir du peintre BALTHUS. Années
1987 - 1993.
À bientôt.
Fait par Djed Ramose.
Copyright Djed Ramose – Avril
2006
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