Champs de force dans les vêtements sacerdotaux (extraits)
(D'après La Science des Sacrements, de C.W. Leadbeater)

 

Courant de forces à travers l'étole.

La force qui s'accumule sous le surplis, pendant un service, s'élance par l'encolure et est attirée par la croix en métal fixée au milieu de l'étole. De là elle s'écoule le long des 2 pans de l'étole jusqu'aux extrémités, où elle forme un vortex autour de chacune des croix qui s'y trouvent. Puis de là elle rayonne sur les fidèles par les franges de métal.

(Précision de C.W. Leadbeater : Qu'il nous soit permis, une fois de plus, d'affirmer que nous ne soutenons pas que les vêtements sont nécessaires à la dévotions.....)


Croix de l'étole.

L'expérience a démontré que ce genre de croix est le plus adéquat pour la concentration et même pour la distribution de la force.

     
 

Courant de forces à travers la chape.

La large bande de métal de la chape agit comme une immense étole, sauf que les forces qu'elle recueille, soit pendant que le prêtre marche en procession, soit lorsqu'il se tient face à l'autel, montent vers les épaules, redescendent dans la cape et de là rayonnent sur les fidèles. Lorsque le prêtre se tient en face des assistants, la cape absorbe la force venant de l'autel, laquelle descend ensuite le long des orfrois et rayonne vers les fidèles par l'extrémité inférieure des bandes de métal.

 

 

         
 

Courant de forces sous l'aube.

Chaque fois que le prêtre touche l'Hostie ou le Caliche, la force qui s'en échappe monte le long de ses bras, sous l'aube de toile, et s'écoule par l'encolure, où elle est captée par l'amict et l'étole et conduite dans des canaux qui la déversent sur les fidèles. Ces canaux sont les extrémités de l'étole et les orfrois de la chasuble. La ceinture empêche que cette force ne descende plus bas. D'autres forces, provenant de la partie inférieure de l'autel, passent par l'ornement en dentelle du bas de l'aube qui se trouve le plus proche de l'autel, font le tour de l'aube, par-dessous, et rayonnent sur les fidèles à travers l'autre ornement.

La toile blanche de l'aube agit comme un solide bouclier, une sorte d'armure pour le prêtre, l'isolant ainsi presque totalement afin d'empêcher l'intervention indésirable de certaines influences extérieures.

   

Courant de forces dans la chasuble.

Les forces rayonnant de l'Hostie et du Calice sont captées par l'orfroi central, ou pilier, de la chasuble ; puis elles montent et passent dans le pilier opposé par les orfrois huméraux et la bande de l'encolure. Lorsque le prêtre se tient face à l'autel, un torrent de force s'échappe du disque central rayonnant se trouvant sur son dos, ainsi que de la pointe inférieure de la chasuble, et lorsqu'il se tient face à l'assemblée, ce disque et le pilier qui se trouvent au-dessous, concentrent la force et l'envoient par-dessus des épaules dans le pilier du devant, d'où elle rayonne sur les fidèles. Les force qui montent dans la chasuble sont captées par l'ornement en métal de l'amict et lancées dans la circulation générale, bien qu'il puisse arriver qu'une certaine quantité de force s'échappe par-dessous le bord de ce vêtement. La figure A montre la forme entière d'une chasuble étalée sur le sol, - c'est celle d'une Vesica Piscis ; la figure B représente le devant et la figure C le dos de la chasuble.

La crosse.

Trois espèces de têtes de crosses sont représentées à gauche. Les petits joyaux consacrés sont placés à l'intérieur de la pomme marquée K. Les points où des cloisons de pierres, ou d'éther magnétisé, devraient être placées dans la tête de la crosse, sont indiqués par des chiffres. La première cloison, 1, arrête le courant de matière éthérique ; la seconde, 2, le courant de matière astrale ; et la troisième, 3, le courant de matière mentale inférieure.

Vers le XIème siècle, la tête en forme de crosse fut universellement adoptée, sauf par l'Eglise grecque qui a encore la forme en T, constituée généralement par 2 serpents qui ont l'air de se menacer l'un et l'autre.

 

La partie des vêtements sacerdotaux se termine par :
De plus en plus le temps s'approche, le temps qui sûrement viendra, où la terre sera remplie de la gloire de Dieu, comme les eaux de la mer emplissent les abîmes.